Saint-Sulpice, Paris 6e, 123.47 m2
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Duplex calme et lumineux

SAINT-SULPICE En plein cœur du quartier de Saint-Sulpice et à deux pas du jardin du Luxembourg, dans un magnifique immeuble du XVIIIe siècle, un appartement en duplex situé au troisième étage par escalier. L'appartement, d'une superficie de 123,47 m2 loi Carrez, se compose d'une entrée, une belle réception donnant sur une jolie cour arborée, une grande cuisine lumineuse avec une vue dégagée, deux chambres dont une suite parentale de 32 m2, un bureau, une salle d'eau et des toilettes indépendantes. L'appartement est calme, lumineux avec un plan optimisé.

Honoraires à la charge de l'acquéreur, soit 5.27% TTC
Prix hors honoraires : 2 200 000 €


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Quartier : Quartier Saint-Sulpice

L’une des plus grandes et plus belles églises de Paris, l’Église Saint-Sulpice était d’abord, au 12e siècle, celle d’un charmant petit hameau, une simple chapelle à l’orée des remparts de la capitale.

Après avoir connu plusieurs mues architecturales, elle fut majestueusement réinventée par Servandoni au 18e siècle. C’est cette façade qui régale toujours les yeux des promeneurs et abrite la fameuse Chapelle des Saints-Anges de Delacroix.

C’est toujours un ravissant village qui s’abrite à l’ombre de la vénérable église qui, comme elle s’est patinée en quintessence même de la vie parisienne, est devenu désormais le quartier qui porte son nom.

La place, tel un cadran solaire, y égrène les heures autant qu’elle les sublime, avec pour constante, le café de la Mairie ; ici, le temps file avec nonchalance et prodigalité, Georges Perec y a compté les siennes et en a fait un livre, qui décrit les riches heures du Café.

Ce registre minute et détaille la vie de la place Saint-Sulpice et le ballet des passants, des élégantes, des travailleurs à l’heure du croque-monsieur, des amis qui partagent l’apéritif ou des étudiants qui fuient les boulevards pour partager un café, semble avoir été écrit aujourd’hui.

Il y a une immuable douceur de vivre parisienne à l’ombre de l’Église Saint-Sulpice.

Caprice d’architecture Baroque au cœur de Paris, le quartier témoigne de la nostalgie que Catherine de Médicis avait pour sa ville natale, Florence, du jardin du Luxembourg inspiré de ceux de Boboli, à la Place Saint Sulpice, où s’étire une langueur méridionale.

La clientèle, plus discrète qu’à Saint-Germain-des-Prés, est plus feutrée et aussi plus variée. Les jeunes familles se mêlent aux plus anciennes, artistes, intellectuels, industriels, ou financiers sont les habitants du quartier qu’ils partagent avec une large clientèle internationale, qui s’installe dans ce quartier emblématique du Paris historique, ou s’y offre un pied-à-terre.

Le marché y est l’un des plus stables et plus convoités de Paris.

 

La vie du Quartier

La douceur de vivre du quartier se savoure sous toutes les formes, de la lumière du matin en traversant la Place Saint-Sulpice au réconfort des restaurants de la rue Servandoni, le Bon Saint-Pourçain en tête, ou les petits italiens de la rue Canette.

 

Incontournable

On serpente le long de la charmante rue Férou et on s’arrête le temps de se laisser transporter par le « Bateau Ivre », cette fresque projetant sur 300 m² le célèbre poète d’Arthur Rimbaud. Peinte sur le mur d’enceinte de l’hôtel des impôts qui occuperait la place du restaurant où, pour la première fois, le poète alors âgé de 16 ans aurait déclamé ce poème.

Plus loin, cette même rue, minuscule et charmante, abrite l’ancien atelier parisien de Man Ray.

Et nous voilà en une balade dans les secrets du Paris mythique.


Négociateur : Olivier GRACIA

+33145557910

ogracia@varenne.fr


Quartier Saint-Sulpice

L’une des plus grandes et plus belles églises de Paris, l’Église Saint-Sulpice était d’abord, au 12e siècle, celle d’un charmant petit hameau, une simple chapelle à l’orée des remparts de la capitale.

Après avoir connu plusieurs mues architecturales, elle fut majestueusement réinventée par Servandoni au 18e siècle. C’est cette façade qui régale toujours les yeux des promeneurs et abrite la fameuse Chapelle des Saints-Anges de Delacroix.

C’est toujours un ravissant village qui s’abrite à l’ombre de la vénérable église qui, comme elle s’est patinée en quintessence même de la vie parisienne, est devenu désormais le quartier qui porte son nom.

La place, tel un cadran solaire, y égrène les heures autant qu’elle les sublime, avec pour constante, le café de la Mairie ; ici, le temps file avec nonchalance et prodigalité, Georges Perec y a compté les siennes et en a fait un livre, qui décrit les riches heures du Café.

Ce registre minute et détaille la vie de la place Saint-Sulpice et le ballet des passants, des élégantes, des travailleurs à l’heure du croque-monsieur, des amis qui partagent l’apéritif ou des étudiants qui fuient les boulevards pour partager un café, semble avoir été écrit aujourd’hui.

Il y a une immuable douceur de vivre parisienne à l’ombre de l’Église Saint-Sulpice.

Caprice d’architecture Baroque au cœur de Paris, le quartier témoigne de la nostalgie que Catherine de Médicis avait pour sa ville natale, Florence, du jardin du Luxembourg inspiré de ceux de Boboli, à la Place Saint Sulpice, où s’étire une langueur méridionale.

La clientèle, plus discrète qu’à Saint-Germain-des-Prés, est plus feutrée et aussi plus variée. Les jeunes familles se mêlent aux plus anciennes, artistes, intellectuels, industriels, ou financiers sont les habitants du quartier qu’ils partagent avec une large clientèle internationale, qui s’installe dans ce quartier emblématique du Paris historique, ou s’y offre un pied-à-terre.

Le marché y est l’un des plus stables et plus convoités de Paris.

 

La vie du Quartier

La douceur de vivre du quartier se savoure sous toutes les formes, de la lumière du matin en traversant la Place Saint-Sulpice au réconfort des restaurants de la rue Servandoni, le Bon Saint-Pourçain en tête, ou les petits italiens de la rue Canette.

 

Incontournable

On serpente le long de la charmante rue Férou et on s’arrête le temps de se laisser transporter par le « Bateau Ivre », cette fresque projetant sur 300 m² le célèbre poète d’Arthur Rimbaud. Peinte sur le mur d’enceinte de l’hôtel des impôts qui occuperait la place du restaurant où, pour la première fois, le poète alors âgé de 16 ans aurait déclamé ce poème.

Plus loin, cette même rue, minuscule et charmante, abrite l’ancien atelier parisien de Man Ray.

Et nous voilà en une balade dans les secrets du Paris mythique.