Panthéon, Paris 5e, 184.2 m2
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Superbe triplex en derniers étages

PANTHEON Sectorisé Collège Henri IV, au cœur du quartier Latin, proche du Panthéon et du Jardin du Luxembourg. Un vaste appartement, comme un loft familial de 184,20 m2 loi Carrez, avec une terrasse aménagée. La surface au sol est de de 222 m2, grâce aux nombreux rangements intégrés. Climatisé, et situé dans un immeuble moderne, réhabilité en 2008, ce superbe triplex en derniers étages par ascenseur, comprend trois niveaux : un vaste salon, salle-à-manger, cuisine ouverte, orientés Sud-Ouest, bénéficiant d’une verrière. Cette pièce majeure donne sur une terrasse de 37 m2, puis sur une chambre avec sa salle de bains. Au second niveau, une bibliothèque en mezzanine plongeant sur le salon, une suite avec sa salle de bains et un bureau, pouvant faire office de chambre, avec sa salle d’eau. Au dernier étage, sous les toits, deux chambres de 14 et 15 m2. Au calme absolu, baigné de lumière, ce lieu privilégié est à l’abri des regards, avec une ravissante vue arborée. 2 places de parking en option de 45 000 € chacune.

Honoraires à la charge de l'acquéreur, soit 3.51% TTC
Prix hors honoraires : 3 961 000 €


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Quartier : Quartier Panthéon

Les Romains ne s’y sont pas trompés, qui avaient choisi cette colline pour dominer Lutèce. Depuis deux millénaires, cette Montagne un jour baptisée Sainte Geneviève est la plus ancienne vigie de Paris. L’histoire de la ville s’y lit à chaque immeuble, à chaque instant, comme la vue en coupe d’une fabuleuse épopée.

L’enchevêtrement des rue d’Ecosse, Lanneau et Laplace est une bouffée médiévale. A deux pas, la belle rigueur du Panthéon, où sommeillent nos grands hommes, éclabousse de clarté. Ici, l’on passe souvent de l’ombre à la lumière. Douce obscurité de Saint Etienne du Mont, de ces venelles aux noms intemporels : Tournefort, du Pot de Fer ; et puis, soudain, ces places où fourmille une vie joyeuse et bienveillante : les riantes terrasses de la Contrescarpe, le gourmand marché de la Place Monge, le sable fin des arènes de Lutèce, enfin ce Jardin des plantes qui n’est jamais loin.

Voilà un quartier où l’on n’en a jamais fini de monter… et de redescendre ! A la belle côte de la rue des Carmes, qui débouche sur le dôme du Panthéon, répond la pente de Mouffetard, qui s’épanouit dans un déferlement de victuailles (surtout le dimanche matin !) pour mieux prendre un café au chevet de la ravissante église Saint Médard.

Rodin est né ici, Descartes, Diderot, Mérimée et Verlaine y ont posé leurs bagages, jusqu’à Hemingway, qui fuyait les folies de Montparnasse pour trouver dans ces parages la magie d’un Paris hors du temps.  Ah, la douceur de vivre du Panthéon…

 

La vie du quartier :

Malgré la richesse touristique de ce quartier, le Panthéon n’a jamais perdu son charme, son âme, ses habitants, sa vie secrète. Déjeuner contre des professeurs de la Sorbonne, dans l’illustre Balzar ; prendre une citronnade dans la cour du charmant Hôtel des Grandes Ecoles ; aller regarder les étudiants qui planchent et buchent, dans la spectaculaire Bibliothèque Sainte Geneviève ; et puis flâner de jardin caché et haltes discrètes : la jardin du Centre Culturel Irlandais, celui de l’Ecole Normale Supérieure, rue d’Ulm. Toujours le Paris des arbres répond à celui de la pierre, dans cette harmonie éternelle qui n’en finit pas d’enchanter la ville lumière.   

 

Incontournable :

Quartier des premières églises parisiennes, la Montagne Sainte Geneviève possède aussi la plus ancienne (et plus belle) mosquée de Paris. Aller y boire le thé à la menthe un dimanche de printemps, est une expérience gourmande et raffinée qu’on ne saurait trop recommander. 


Négociateur : Julien DE NYS

+33 1 45 55 79 00

+33 6 03 38 03 94

jdenys@varenne.fr


Quartier Panthéon

Les Romains ne s’y sont pas trompés, qui avaient choisi cette colline pour dominer Lutèce. Depuis deux millénaires, cette Montagne un jour baptisée Sainte Geneviève est la plus ancienne vigie de Paris. L’histoire de la ville s’y lit à chaque immeuble, à chaque instant, comme la vue en coupe d’une fabuleuse épopée.

L’enchevêtrement des rue d’Ecosse, Lanneau et Laplace est une bouffée médiévale. A deux pas, la belle rigueur du Panthéon, où sommeillent nos grands hommes, éclabousse de clarté. Ici, l’on passe souvent de l’ombre à la lumière. Douce obscurité de Saint Etienne du Mont, de ces venelles aux noms intemporels : Tournefort, du Pot de Fer ; et puis, soudain, ces places où fourmille une vie joyeuse et bienveillante : les riantes terrasses de la Contrescarpe, le gourmand marché de la Place Monge, le sable fin des arènes de Lutèce, enfin ce Jardin des plantes qui n’est jamais loin.

Voilà un quartier où l’on n’en a jamais fini de monter… et de redescendre ! A la belle côte de la rue des Carmes, qui débouche sur le dôme du Panthéon, répond la pente de Mouffetard, qui s’épanouit dans un déferlement de victuailles (surtout le dimanche matin !) pour mieux prendre un café au chevet de la ravissante église Saint Médard.

Rodin est né ici, Descartes, Diderot, Mérimée et Verlaine y ont posé leurs bagages, jusqu’à Hemingway, qui fuyait les folies de Montparnasse pour trouver dans ces parages la magie d’un Paris hors du temps.  Ah, la douceur de vivre du Panthéon…

 

La vie du quartier :

Malgré la richesse touristique de ce quartier, le Panthéon n’a jamais perdu son charme, son âme, ses habitants, sa vie secrète. Déjeuner contre des professeurs de la Sorbonne, dans l’illustre Balzar ; prendre une citronnade dans la cour du charmant Hôtel des Grandes Ecoles ; aller regarder les étudiants qui planchent et buchent, dans la spectaculaire Bibliothèque Sainte Geneviève ; et puis flâner de jardin caché et haltes discrètes : la jardin du Centre Culturel Irlandais, celui de l’Ecole Normale Supérieure, rue d’Ulm. Toujours le Paris des arbres répond à celui de la pierre, dans cette harmonie éternelle qui n’en finit pas d’enchanter la ville lumière.   

 

Incontournable :

Quartier des premières églises parisiennes, la Montagne Sainte Geneviève possède aussi la plus ancienne (et plus belle) mosquée de Paris. Aller y boire le thé à la menthe un dimanche de printemps, est une expérience gourmande et raffinée qu’on ne saurait trop recommander.